Le député de Richmond-Arthabaska et ministre du Cabinet fantôme conservateur responsable du Patrimoine canadien, des Langues officielles et du Développement économique du Québec, Alain Rayes, a été nommé vice-président du Comité permanent du patrimoine canadien de la Chambre des communes (CHPC).

Cette responsabilité s’ajoute à celles que lui a déjà confié le chef du Parti conservateur du Canada, Erin O’Toole, récemment. Le rôle du Comité, composé de députés de toutes allégeances politiques, est d’examiner les politiques, les programmes et les plans de dépenses du ministère du Patrimoine canadien et de la plupart des organismes et des sociétés d’État du portefeuille.

« Les comités parlementaires jouent un rôle très important pour notre démocratie. Ils permettent de faire la lumière sur certaines décisions du gouvernement. On a appris bien des détails sur le scandale WE Charity grâce au Comité permanent des finances, par exemple », a souligné le député.

M. Rayes a profité de la première rencontre du CHPC pour présenter une motion visant à convoquer le ministre Steven Guilbeault devant les membres du comité. Celle-ci a été adoptée à l’unanimité. « L’objectif de la motion est d’examiner les dépenses du ministère du Patrimoine canadien depuis le début de la COVID-19. Nous savons que l’argent des contribuables n’a pas toujours été bien utilisé par le gouvernement libéral. Nous voulons faire la lumière là-dessus et, potentiellement, faire en sorte d’éviter le

Le Fonds d’aide et de relance régionale vise à soutenir les entreprises et organismes n’ayant pas pu obtenir de soutien financier par l’entremise des autres programmes d’aide fédéraux en vigueur.

« De nombreuses personnes ont contacté mon bureau parce qu’ils sont incapables d’obtenir un soutien financier pour aider leur commercer ou leur organisme à passer à travers la crise parce qu’ils ne sont pas admissibles aux programmes existants. J’invite ces personnes à contacter leur Société d’aide au développement des collectivités (SADC) locale. La gestion du Fonds d’aide et de relance régionale leur a été confiée », a poursuivi le député de Richmond-Arthabaska.

Alain Rayes a également profité de son entretien avec la ministre Joly pour faire le point sur le dossier de la modernisation de la Loi sur les langues officielles. « Il s’agit d’un vieil engagement électoral des libéraux qui a été répété dans le plus récent discours du Trône. Rien n’a encore été fait dans ce dossier. J’ai demandé à la ministre un échéancier dans ce dossier », a conclu M. Rayes.

Cette responsabilité s’ajoute à celles que lui a déjà confiées le chef du Parti conservateur du Canada, Erin O’Toole, récemment. Le rôle du Comité, composé de députés de toutes allégeances politiques, est d’examiner les politiques, les programmes et les plans de dépenses du ministère du Patrimoine canadien et de la plupart des organismes et des sociétés d’État du portefeuille.

« Les comités parlementaires jouent un rôle très important pour notre démocratie. Ils permettent de faire la lumière sur certaines décisions du gouvernement. On a appris bien des détails sur le scandale WE Charity grâce au Comité permanent des finances, par exemple », a souligné le député.

M. Rayes a profité de la première rencontre du CPPC pour présenter une motion visant à convoquer le ministre Steven Guilbeault devant le comité. Celle-ci a été adoptée à l’unanimité. « L’objectif de la motion est d’examiner les dépenses du ministère du Patrimoine canadien depuis le début de la COVID-19. Nous savons que l’argent des contribuables n’a pas toujours été bien utilisé par le gouvernement libéral. Nous voulons faire la lumière là-dessus et, potentiellement, faire en sorte que le ministre soit plus rigoureux », a poursuivi le député de Richmond-Arthabaska.

Alain Rayes compte également profiter de son rôle au CPPC pour passer au crible le projet de loi C-10 visant à moderniser la Loi sur la radiodiffusion, présenté mardi par le ministre Guilbeault.

« Les libéraux ont présenté un projet de loi incomplet qui ne tient pas compte de l’iniquité fiscale, de la contribution au Fonds des médias et des deux langues officielles, même si l’on sait que les communautés francophones n’ont pas accès de façon équitable au contenu. C-10 ne s’attarde pas aux géants du Web ni aux réseaux sociaux. Le gouvernement libéral ne fait que renvoyer la balle au CRTC pour toutes les questions épineuses et il ne donne aucune directive claire. Les libéraux ont manqué de courage pour régler ce problème qui perdure depuis trop longtemps. Il faut s’y attarder », a-t-il conclu.